Gabriel

Courty-Villanua

Diplômé du BTS audiovisuel René Cassin à Biarritz en 2011, Gabriel commence sa carrière comme technicien vidéo au sein du groupe Canal plus.Souhaitant se diversifier, il participe à des projets de tous genres en tant qu'assistant, puis chef opérateur, ou assistant réalisateur sur le long métrage "Alex, Clément et tous les autres" de Cheng-Chui Kuo, sélectionné dans plusieurs festivals.Avec des amis issus de la même formation, il fonde en 2016 sa société de production, Kestu. Gabriel y réalise et monte plusieurs projets publicitaires, des clips musicaux et films courts ( Drift, Les Yeux qui brillent, sélectionné au marché du film du festival de Cannes). En parallèle, il effectue une formation en direction d'acteurs au CIFAP à Paris.En 2020 il réalise son premier documentaire « Pôle espoir », un film de 52 mn sur les jeunes espoirs du pôle surf et bodyboard, diffusé sur France 3.

Gabriel

Courty-Villanua

Diplômé du BTS audiovisuel René Cassin à Biarritz en 2011, Gabriel commence sa carrière comme technicien vidéo au sein du groupe Canal plus.Souhaitant se diversifier, il participe à des projets de tous genres en tant qu'assistant, puis chef opérateur, ou assistant réalisateur sur le long métrage "Alex, Clément et tous les autres" de Cheng-Chui Kuo, sélectionné dans plusieurs festivals.Avec des amis issus de la même formation, il fonde en 2016 sa société de production, Kestu. Gabriel y réalise et monte plusieurs projets publicitaires, des clips musicaux et films courts ( Drift, Les Yeux qui brillent, sélectionné au marché du film du festival de Cannes). En parallèle, il effectue une formation en direction d'acteurs au CIFAP à Paris.En 2020 il réalise son premier documentaire « Pôle espoir », un film de 52 mn sur les jeunes espoirs du pôle surf et bodyboard, diffusé sur France 3.

Rebels don't know age

Naçiye est une belge âgée de 75 ans qui vit à Antalya, en Turquie. Elle est atteinte de la maladie de Parkinson. Depuis 5 ans, elle se rend dans des clubs de boxe pour affronter et soulager un corps qui ne lui répond plus. Dans ce pays en plein questionnement identitaire, elle décide de se battre pour faire reconnaître le sport comme soin alternatif avec comme objectif, créer le premier club de boxe pour malades de Parkinson. Mais l’efficacité du Rock Steady Boxing sera-t-elle reconnue en Turquie, où le lobby des médicaments et le poids des traditions constituent un frein à la connaissance de « l’une des grandes épidémies de notre siècle » ?

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