Marc
Obin
En 2001, tout juste diplômé en Architecture, Marc laisse son diplôme à son École d’Architecture de Marseille-Luminy pour entrer dans l’univers du Cinéma par la porte de la Décoration.Pendant cinq ans, Marc apprend « sur le terrain » toutes les étapes de la réalisation d’un film comme assistant décorateur, de la préparation à la post-production en passant par le tournage, sur des films comme « Narco » (Tristant Aurouet & Gilles Lellouche), « Je vais bien, ne t’en fais pas » (Philippe Lioret), « Ne le Dis à Personne » (Guillaume Canet) ou encore « Le Concert »(Radu Mihaileanu). En 2006, il réalise son premier court-métrage, « APPEL EN ABSENCE », avec Simon Buret (le chanteur du groupe AaRON) puis « VIEILLESSE ENNEMIE » en 2008 avec Sara Forestier et Philippe Nahon.Il consacre les années qui suivent à la photo, au montage et à l’écriture et réalise des clips pour différents artistes tels Hugh Coltman, Asaf Avidan, Louane, Raphaël, Brigitte, Hoshi, Malo’, Dani, Jacky Terrasson & Stéphane Belmondo ou Laurent Voulzy – dont 2 avec le comédien Pierre Richard (« The End of the World » de Hugh Coltman et « Mr William » du Aurore Voilqué Septet. En parallèle, Marc réaliste quelques films digitaux pour Armani et L’Oréal, avec des comédiennes comme Sarah Gadon et Eva Green.Ces expériences l’aident à construire un univers filmique original qu’il ne cesse de faire évoluer, et qu’il met en scène dans son 3ème court-métrage : « AMOR AMOR » en 2016, ainsi que le premier épisode d’une série documentaire sur des portraits de Chefs, avec Wake Up Productions : « Bistronomie : les combattants parisiens », et développe son premier long-métrage : « De peur qu’il ne se sauve » avec Nicolas Peufaillit, le co-auteur d’ « Un Prohète » de Jacques Audiard.
De peur qu'il ne se sauve
C’est l’histoire d’un type qui fait tout pour réaliser son rêve. C’est l’histoire d’un type qui quand son rêve devient réalité va tout faire, tout, pour le détruire.C’est l’histoire d’un homme qui a tellement besoin de l’amour d’une femme qu’il fait tout pour les faire fuir, toutes.Bref, c’est l’histoire d’un bonheur qui ne peut que se fuir, de peur qu’il ne se sauve.